Bruit, rencontre et M. Morgan [Libre]

La Grande Place. Un lieu où beaucoups d'habitants se rencontrent, se rejoinent...Ils rient aux éclats, jusqu'à ne plus avoir de souffle. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ils sont heureux. Pour quel autre raison ? Mais la Grande Place est un lieu aussi où beaucoups n'en sortent jamais. Trop de monde peut être ? Ce qui est sur c'est que pas tout le monde aime le bruit. Ce qui n'est le cas de Rêverie. Une jeune fille de 14 ans, avec un tempérament bien agiter. Ce lieu est un paradie pour elle. Le bruit, les rires, l'agitation et encore beaucoups de choses font que ce lieu est fait pour elle. Au centre de la place ce trouve une magnifique fontaine, l'eau qu'elle rejette est d'un bleu turquoise somptieux. Elle est si claire qu'on voudrais si baigner, malheureusement c'est impossible. Dommage.

Notre chere ami Rêve, avait décider d'aller voir de ses propre yeux la fontaine. Elle voulais aussi aller dans un endroit où il y avait de l'embiance. Car elle aimait par dessus tout faire la fête. En faite cette fontaine est un monument commémoratif car c'est la statue du créateur de Senpyuta, Melvin Morgan. Elle a été crée par une certaine Maï-lin, qui apparament repris le projet de Senpyuta après la mort de M. Morgan. Rêverie était curieuse de savoir à quoi ressembler l'homme qui avait eu l'idée de créer ce monde virtuel. Hier Rêverie c'était réveiller dans son lit, c'était une jeune fille normal comme les autres. Et aujourd'hui elle est devenu une Guasers dans un monde imaginaire avec un don. C'était une Graphiste. Rêverie avait beaucoups de mal à savoir si celà était vrais ou une simple illusion. Plus elle y pensait moins elle comprennait.
Tout était flou, où aller, à qui parler...elle n'est pas une grande timide, mais elle ne peut aller voir les gens et leur taper la causette. Alors elle attendait qu'un miracle se produise pour rencontrer quelqu'un. Que faire d'autre ?

Rêverie marchait dans les ruelles animées par tout ce monde. Au début il n'y avait pas beaucoups de gens, puis plus elle avançait plus le nombres de personnes augmenter, jusqu'à ce qu'elle apperçu enfin la Grande Place. Elle était immence, il y avait un de c'est monde tout autour de la fameuse fontaine de M. Morgan. Un bourdonnement de paroles entra dans les oreilles de la jeune princesse, qui l'aguaça fortement. ( Pour une fois. ) L'Hiver était encore là, mais avec cette animation on ne s'entait plus le froid vous fouttez le visage. ce qui était agréable; Rêverie n'aimait pas l'hiver elle préférait les saisons comme le Printemps ou l'Automne car c'était les deux saisons de l'année ou il y avait de magnifique couleur. Le rouge, orange, jaune, marron pour l'Automne et le rose, le vert, le bleu pour le Printemps. Rêve n'aimait donc pas l'Hiver, déjà parce qu'il fait trop froid et de deux parce qu'elle tombe souvent malade. ( Quel chance ! ) Mais elle avait tout prévue. Elle avait donc mit sa jolie petite robe blanche avec de la dentelle noir en bas, un petit gillet noir, accompagner d'une belle écharpe en laine noir, bien longue pour pouvoir faire plusieur tour. En chaussure elle porte comme d'habitude ses balerines noires avec de grandes chaussettes blanches à dentelles noires. Elle avait aussi sur elle, un sac en bandouliaire de couleur vert pomme. ( Pour mettre un peu de couleur. ) Dans son sac il y avait tout son matériel de dessins, une brosse à cheveux...enfin sa trousse de toilettes. Son sac était plutôt un brique-à-braque qu'un sac.

Rêverie commen-ça à marcher en direction de la fontaine, elle se fesait écrasser comme un vulgaire insecte. Quand elle criait " Aïe ! " tout le monde la regarder de haute en bas, sur son chemin beaucoup rester figer par la couleur de ses cheveux, qui aujourd'hui était barioler. Ou parfois c'était ses yeux un rouge et l'autre vert comme son sac.

* Comment peuvent-ils m'écraser ? Je ne passe pas pourtant inaperçu ? pensa t-elle. *

Quand Rêve arriva au pied de la fontaine elle resta longtemps figer sur le visage de cette immence statue. C'était donc lui M. Morgane. Elle le contempla pendant un quart d'heure au moins. Puis elle sortie son bloc, un crayon et une gomme. Elle sassit donc près de lui, lui qui ne respirer pas, qui ne parler pas et qui ne bouger pas. Les gens commençaient à si faire à la présence de Rêverie. Ses yeux river sur le papier blanc, comme si son âme vennait de partir de son corps pour aller dans un autre monde. puis elle se décida à commencer par donner les premier coup de crayon.

Kyoku Ren, qui n'avait pas beaucoup dormi cette nuit là, était partit dès l'aube pour rejoindre la capital du Jeu, Emalys. Sa nuit, il l'avait passé dans la Prairie BlueFlower. Il avait réussit à trouver un endroit où l'herbe était suffisamment épaisse, drue et confortable pour pouvoir s'allonger sans problème. Une fois cette endroit trouvé, il s'était confectionné un lit composé des branchages et de feuilles et s'y était allongé tranquillement. Il avait sauté le repas du soir, faute de nourriture. Allongé sur le sol végétal, il avait regardé le ciel d'une clarté rare : on pouvait apercevoir toutes les étoiles que contenait le ciel. Une pure merveille, surtout pour quelqu'un qui aime la nature, le calme, le repos comme Ren. Il était alors resté ainsi pendant plusieurs minutes, et même pendant plusieurs heures ! Il se sentait libre, relâché, reposé. Il était cependant tellement absorbé par ce spectacle poétique qu'il en avait oublié de fermer les yeux. Et c'est comme ceci que tout sa nuit se passa. Il n'avait donc pas beaucoup dormi dû à un cauchemar, par exemple, mais parce qu'il avait été envouté. Il n'était cependant en aucun cas flemmard, c'est pour cela que dès que les étoiles commencèrent à disparaître et que les premiers rayons de soleil se mirent à éclairer le ciel, il s'était levé et été partit vers le Nord pour rejoindre la ville. Il avait bien fait attention à ne pas oublier son katana, même si celui-ci est toujours attaché à sa hanche. Cette nuit étoilée avait fait oublier le froid régnant au jeune homme.

Il n'avait pas mis longtemps pour rejoindre Emalys, seulement une petite heure, rien de bien extraordinaire pour un grand marcheur, aventurier qu'il est. Il avait déjà traversé les quelques remparts que possédait la ville et était arrivé aux alentours du cœur de la ville. Et c'est dans les environs de là où il se trouvait qu'il voulait se rendre. Son ventre criait maintenant famine et il fallait se nourrir ! Cela fait maintenant quelques années qui se rendait au même endroit quand il devait manger dans cette ville. C'est un simple petit restaurant, pas très connue, servant exclusivement ramen, nouilles et nourriture japonaise. Le chef était un Fraccion, originaire du pays du soleil levant, il connaissait donc toutes les ficelles pour servir les meilleurs plats ! Cette nourriture n'étant pas rependu sur Senpyuta il avait du mal à se faire un nom. Mais maintenant, plusieurs personnes étaient déjà des adeptes, et les prix sont fort attractifs. Il retrouva le petit établissement très facilement et s'y installa. Pas besoin de prendre la carte, il savait déjà ce qu'il voulait. De nature pas bavard, dès que le cuisinier demanda ce qu'il voulait, le jeune samouraï pointa avec son index deux plats différents sur l'affiche située non loin de lui.

# Un plat de sushis et un bol de ramen ! C'est parti !

Ren fut rapidement servi, prenant deux baguettes il s'attaqua aux premiers sushis. Il les avait prit exclusivement au saumon aujourd'hui. Calmement, il les dégusta avec plaisir. Un sourire, que l'on peut voir très rarement, s'était dessiné sur ses lèvres. Il faut dire que là, vous le prenez pas les sentiments. Il aime littéralement la nourriture japonaise ! Dès qu'il eut fini de manger avec passion les quelques morceaux de poissons crus recouvert de riz blanc, il demanda son bol de ramen. Une eau coloré et fumante se présenta à lui. Dedans se trouvaient des nouilles donc, un œuf coupé en deux, une tranche de viande, quelques algues, et des légumes. Des petites étoiles brillaient dans les yeux de Ren. Il planta ses baguettes et apporta ces quelques délices dans sa bouche. Aucune éclaboussure, rien, il mangeait élégamment. Il laissa le prix de ce qu'il avait prit et partit quand son bol avait été complétement vidé.

Il se remis en route, le ventre plein. Cela faisait un bien fou. Le froid de l'hiver était agréable, et au moins, à cette saison, tout est calme. Le monde dort tranquillement. Ren aimait bien cette période. Il se rapprochait du centre ville, de la Grande place exactement. Le foule commença à apparaitre et se faisait rapidement épaisse. Malgré le froid et l'heure matinale, beaucoup de personnes étaient dehors, prêts à passer une journée haut en couleurs. Certaines personnes se retournaient quand le jeune samouraï avançait. Il était rare maintenant de voir des personnes habillées sans trop de couleurs. Il faut dire que les couleurs... Beaucoup de couleurs... Quelle mauvais gout ! En parlant de couleurs, il ne fit même pas attention à la petite fille qui se retrouvait à sa gauche. Il s'approcha de l'eau de la fontaine. Quelle belle fontaine, en honneur du grand créateur de Senpyuta. Il était plus que vénéré en ces terres. Il mit sa main sous l'un des jet, puis approcha sa bouche pour en prendre quelques gorgées. L'eau de cette fontaine est dite sacrée, elle est en tout cas très bonne et fraiche. Il chercha sur lui un récipient pour en prendre un petit d'eau. Échec. Il aperçut alors cette jeune fille à côté de lui, en train de s'entrainer sur ses talents de graphiste. Peut-être pouvait-elle l'aider avec son pouvoir. Il regarda quelques instants ses cheveux bariolés. Un vrai arc-en-ciel.

" C'est... Spécial... " pensa-t-il.

Rêverie avait donc attaquer le dessin de M. Morgan. Pourquoi le dessiner ? Voulait-elle le rammener à la vie ? Ce qui, même avec son talent était impossible. Elle aurait effectivement réussi à le dessiner et à le faire naître, mais il n'aurait était qu'un pantin avec le visage de celui-ci. Elle continua quand même, plonger dans son art. Elle ne fesait maintenant plus attention aux personnes qui l'entouraient, les critiques consernant son look et tout le broucan. Entendre les plaites de lui et de l'autre, tout ceci commencer à aguacer les oreilles de notre pauvre petite Graphiste. Alors elle fit le vide dans son esprit pour ne plus rien entendre, seulement le coup de crayon, qui fesait un bruit délicat au contacte de la feuille.

La feuille blanche comme la neige. Elle se posait parfois la question si il neigait sur Senpyuta. Bien évidement, M. Morgan avait créé ce monde et n'avait pas pu oublier le temps de neige. Rêve aimait la neige pour faire des bonhommes blancs, mais elle n'aimait toujours pas l'Hiver. Cette saison glacial, sans chaleur, ni vie parfois dans les villes. Normal tout le monde préférer rester au chaud, chez soit...Rêverie penser à sa maison et à Shota. Es qu'elle allait avoir un chez soit, ici...Sur Senpyuta. Des amies peut être. Enfin ce t'en était révolue pour elle. Elle n'y retournerait pas, quoi qui l'en coute. Aujourd'hui c'était un nouveau jours.

Rêverie avait toujours les yeux rivés sur sa feuille. Le froid glacer ses petits doigts, c'est pour sa qu'elle ne pouvait suporter l'Hiver. Pour une artiste avoir les doigts geler n'était pas le top, surtout pour quelqu'un qui aime dessiner en pleine air. La tête de notre bon créateur prennait forme. Elle commençait à ressembler à quelque chose. Quand elle fut bousculer par des Fraccions, ils n'avaient pas du faire attention. Elle les regarda avec un regard étonner. Puis elle marmonna.

- Je ne suis pas invisible...Si ?

Elle fut sorti de son petit univer créatif. Pour retourner au boucan et à l'agitation de la foule. Elle soupira, quand elle aperçu un jeune homme, plus âgé qu'elle, boire l'eau de la fontaine. Elle ne pouvait le quitter des yeux. Il avait un visage de rêve, si beau qu'on aurait dit qu'il n'était pas réelle...mais c'était peut être le cas. Il pouvait être Fraccion, et alors il n'était pas vraiment...Non Rêverie ne voulait penser comme-ça, ce monde était bien réelle. Enfin presque. Il buvait donc cette eau douce d'un bleu turquoise. Mais ce qui était beau chez ce jeune homme, Rêverie ne pouvait le dire. Tout était beau, il paraiçait si calme au milieu de toute cette foule. Rêve le regarda boire avec délicatesse que lorsqu'il eu fini, il n'avait pas une seul goûte autour de sa bouche. Juste les lèvres légèrement humide.

Rêverie ne pensait plus à son dessin. Elle était figer sur le garçon, regardant tout de lui. Dommage qu'il ne porte pas de couleurs un peu plus gai. Mais c'est ce qui fesait son style. Elle le regardait encore quand il se tourna vers elle. Elle détourna vite les yeux, comme si de rien était. Elle reprit son dessin de notre cher ami en pierre. Les longs et épais cheveux qu'elle avait, lui cachait très bien le visage. Comme sa elle pouvait jeter un coup d'oeil à ce jeune homme mystérieu. Qui de plus la regarder toujours. Il avait peut être une passion pour le dessin ? Ou encore il avait compris qu'elle le regardait ? Non, pire il avait la critiquer sur son look ? A moins qu'il a vu que c'était une Graphiste.

* Pourquoi me regarde t-il ? J'ai un style particulier, sa je le sais. * pensa t-elle.

Ren sentait encore l'eau fraiche couler le long de sa gorge. La fraicheur de l'eau était fort agréable. Elle étanchait sa soif qui s'était durement installé par sa marche et les plats qu'il avait mangés précédemment, cette fois s'y, peut-être un peu trop salés. On pouvait sentir que cette eau était propre, sans aspérité. On avait l'impression, que même en buvant ne serait-ce quelques gorgées, elle pouvait soigner les pires maladies. On ressentait toute la générosité et la passion de Morgan Melvin, qu'il avait sans doute éprouvé quand il avait construit, en y perdant sa vie, Senpyuta. Cette eau qui est sans contestation saine était aussi bénéfique, et cela on le sentait déjà par la pureté de l'eau mais aussi par l'agréable sensation que provoquer cette eau. Même les problèmes, physiques ou morales, semblaient s'en aller quelques secondes, quelques instants. En gros, cette eau possède de nombreuses vertus. C'est incroyable tout ce que cette eau apporte, limite incroyable. Mais n'oublions pas, que à la base, ce monde est irréel, fantastique.

Il regarda quelques instants la petite femme... Ou plutôt la jeune fille. Elle n'avait pas l'air bien âgée, peut-être la quinzaine et de taille pas très très grande. Passons, elle se tenait debout, tenant son calepin dans la main, et dessinant de son autre main. Elle semblait douée, mais ce n'est qu'une supposition : de là où il était, il ne pouvait voir correctement les croquis, les coups de crayon de l'inconnue. Elle restait concentrée dans ce qu'elle faisait, elle ne se laissait pas distraire par le bruit incessant que produisait la foule, ainsi que son mouvement. On pourrait croire qu'elle a formé une bulle autour d'elle, où aucun murmure, aucune parole, aucune distraction ne peut l'atteindre. "C'est sans doute quelque chose que les artistes font. C'est quand même étrange... Et c'est moi qui dit ça, insaisissable, solitaire et muet comme je suis !" pensa-t-il. Même si Ren n'est pas très bavard, voir même pas du tout, il se parle souvent à lui-même. Non pas qu'il soit schizophrène ou plusieurs dans sa tête, mais il apprécie critiquer, analyser ce qui l'entoure.

Quelque chose le faisait sourire, mais il ne le montrait pas : aucun sourire ne se dessinait sur ses lèvres, aucun rire ne s'entendait. Sa poitrine se soulevait seulement à cause de sa respiration, non à cause de bouffées d'air. En faite, quand je dis que cela le faisait sourire, c'est plutôt que cela l'amusait, que c'était agréable, un brin absurde. Le petit fille, dont il ne connaissait pas le nom, et qu'il ne connaitrait peut-être jamais, semblait se cacher derrière ses cheveux bariolés. Mais notre jeune samouraï avait bien observé, et elle le regardait aussi. Il pouvait apercevoir son œil tourné vers lui. Elle le regardait, et pas très discrètement. Oui, ce qui est amusant dans tout ceci c'est qu'elle essaye de se cacher, de paraitre invisible, si j'ose dire, inaperçue alors que Ren l'a remarqué dès la première seconde. Mais, ce n'est pas parce qu'elle a l'air sympathique, extravagante, que notre jeune homme ira vers elle. Nan, il est de nature solitaire, il ne vis pas en communauté. Il reste seul, et il aime ça ! Alors si ce n'est pas elle qui fait le premier, il n'y a aucune chance qu'ils se connaissent.

# Eh ! Jeune fille ! Tu m'as d'être une graphiste, ne bouge pas. Tu vas pouvoir nous aider !

En face des deux héros de cette histoire, arrivaient deux jeunes hommes, couteux à la mains. Ils avaient leurs visages décorés de cicatrices, signes qu'ils se sont déjà battus. Ce sont des voyous, des loubards. Mais ils semblaient bien déterminés à prendre la fillette. Étant graphiste, ils voulaient sans doute qu'elle leur dessine des billets, des armes, et toutes autres choses de ce genre. Ils avançaient rapidement. La foule, apeurée, se décalait pour les laisser passer, certains même s'enfuyait ou montait dans les bâtiments. C'était régulièrement de jeunes enfants, des femmes affaiblies ou de vielles personnes. Des sourires sournois étaient présents sur leurs visages. Mal habillés, sans doute en manque d'argent et peut-être de drogue, se rapprochaient. L'un faisait taper sa lame sur la paume de sa main. La petite fille venait de se retourner et ne semblait pas prêt à se défendre. Personne n'osait bouger ou dire quoique se soit, comme si ces deux personnes étaient très dangereuses et redoutés. Ren n'habite pas ici, il ne pouvait pas le savoir, si c'était le cas. Maintenant à quelques pas, celui de droite rabaissa sa lame pour blesser l'inconnue, et pour dire qu'ils n'allaient pas reculer même si se n'était qu'une petite fille, et de plus habillée de nombreuses couleurs. Peut-être pas de contre-cœur, mais pas de bonne foi, Ren s'avança vers la jeune fille et stoppa l'arme avec sa main. Aucune goutte de sang ne tomba.

# Vous ne ferez aucun mal à cette petite fille.

Notre samouraï avait un regard impassible. Pour une fois, c'est lui qui avait fait le premier pas. Comme quoi.

Rêverie était encore absorbée par le visage doux et beau du jeune homme. Il avait des trait fin, bien dessiner, comme s'il sortait d'une feuille blanche. Quel classe, même avec des couleurs aussi fades il ne passer pas inaperçus. Ce jeune graçon dégager quelque chose, un truc que les autres n'avaient pas. Elle chercher tout en se cachent derrière sa frange. Elle le contemplait, bientôt sa main bougait toute seul, comme-ci celle-ci avait des yeux pour voir la statut. Mais le jeune garçon ne bouger pas il rester là à la regarder, elle commençait à se poser des questions. Il avait du comprendre que c'était une Graphiste, même s'ils ne sont pas très fort, les esprits tordu de certaines personnes est de vouloir faire ce pouvoir sien.

* Enfin...Je doute fort qu'il en face partis... * pensa-t-elle dans son fort entérieur.

La foulle était toujours là, toujours autant bruyante et agiter, mais il y avait moins de bruit vers le font et ce silence ce raprocher. Heart n'en fit pas attention, car elle allait maintenant avoir un gros problème. Vue qu'elle avait un peu oublier son dessin et que quelqu'un la regarder. Son envis était de lui taper la cosette. Une vrai pipelette. Mais au moment où elle s'appréta à lui adresser la parole. Une voie grave et grasse ce fit entendre.

# Eh ! Jeune fille ! Tu m'as l'aire d'être une graphiste, ne bouge pas. Tu vas pouvoir nous aider !

Deux jeunes hommes, immonde s'avançaient vers la fontaine. Ils étaient armée jusqu'aux dents, près à vous sautez dessus pour vous égorger. Leurs visages décorés de cicatrices, rendis notre pauvre petite Graphiste malade. Elle les regarda et ce fut elle qui devint Blanche-Neige. Elle n'aimait vraiment pas les couteaux. Elle commença à tremblait de peur. Ils parlaient peut être d'une autre fille, mais la foulle ce poussa à leur passage pour leurs donner axé à Rêve. Ils avançaient avec une rapiditer...Que Rêverie avait déjà l'impréssion de sentir le couteau sous sa gorge. Certaine personne couraient ce réfugier dans les bâtiments qui entourer la fontaine. Elle enviait ces personnes qui avaient le courage de s'enfuir. Rêve ne bougait pas, en faites elle ne pouvait pas, car la peur la clouer sur place.

* Mais bouge...bouge aller...reste pas là...* pensa-t-elle s'en rien faire.

Elle se disait encore ça quand l'un des deux hommes été maintenant en face d'elle. Il était si près qu'elle sentit son souffle sur sa peau. Elle n'entendait plus rien juste le souffle de l'homme et de l'autre le bruit de sa lame qui frapper sa paume de main. Elle ne pougait pas, comme-ci son âme été partis dans l'autre monde. Il avança son couteau et Rêverie su que c'était la fin, elle ferma les yeux pour ne rien voir. Mais il ne se passa rien,ni douleur, ni chaud, ni froid.

# Vous ne ferez aucun mal à cette petite fille.

Cette voix douce fit son entrer sur scène. Elle ouvrit les yeux pour voir à qui elle appartenait. C'était le jeune homme de tout à leur. Elle regarda ses mains, rien pas de sang. Quelle agiliter, pensa t-elle. Elle le regarda avec un large sourire sur le visage. Elle avait peur mais elle était aussi très contente. Mais il y avait le deuxième. Rêverie l'avait oublier est n'avait pas sentit venir derière elle. Il la pris par le bras et ajouta très fière de lui.

# Ahahaha !! Je te tiens ! cria t-il.

Rêverie le regarda, elle se débatait de tout c'est force. Mais elle devait faire six fois son poids. Il était non seulement immence mais énorme en plus. Que pouvait-elle faire ? Elle regarda 3 seconde le jeune garçon qui l'avait protéger, il allait mourir seul contre deux mamouths il ne pouvait rien. Même avec son agiliter. Elle le savait qu'elle aurait pas du venir ici est de dessiner sur la place. Qu'elle idiotte. L'autre affreux voulais engagé le combat et se débaraser de ce qui le géner. Quand à Rêverie elle était secouée comme un poirreau. (La pauvre.)
Mais celà lui ouvri les yeux, elle avait toujours en main son feutre noir et elle pouvait désiner n'importe où, car tout prend vie. Elle se déssina vite une araignée sur le bras.

Se sont souvant les plus petite créature qui sont souvant le plus éfficace. Notre magnifique migale se balada sous les vêtements du pauvre bonhomme et apparament il n'aimait pas du tout celle-ci. Il lacha Rêve qui se mit à courir, en prenent le sois de prendre c'est affaire, en direction de la foule.
Notre grand galliar l'avait perdu de vue ou était elle. Il poussa les personnes. Ce qui donner un peu de temps à fillette de déssiner un allié. Quand l'image en tête arriva elle ne perdi pas une seconde, son coeur batter très fort car l'homme l'avait trouver.

# Je te tien cet fois !

Il pris le bras de Heart mais trop tard elle avait déjà fini son déssin. Un large sourir se déssina sur ses lèvres et elle lui dit de sa petite voix de jeune fille.

- Trop tard.

Notre petit diable était sortis. C'était une fille, ou plutôt un esprit, une vrai peste. (pourquoi avoir inventer un personnage pareil) Sa couleur préférer était le rose, Rêve l'appeler souvent. Bien qu'elle ne puisse s'en rappeler.

Bruit, rencontre et M. Morgan [Libre] 863153hgvhg

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Elle fit peur a celui qui retener Rêverie puis donna un coup de pouce à notre belle inconnu.

- Cours ! On prend la poudre d'escanpette ! cria Rêve au jeune homme.

Ils disparurent dans la foule. Mais tout en restant sur la place, comme elle est immence si il continue de courir ils finiront peut être par les semmet.

Ren avait donc arrêté la lame avec sa main, le plus rapidement possible. En effet, plus il aurait attendu, plus la lame aurait eu de la vitesse, et plus cela aurait été compliqué de stopper l'arme. Déjà que c'est une chose bien difficile, cette fois s'y, il avait raté de peu la coupure, et même de très peu. Sans doute que sa bonne étoile était de bonne humeur aujourd'hui. Maintenant que le plus compliqué était fait -c'est à dire stopper l'arme si vous n'avez pas compris, il ne fallait plus lui laisser la chance de l'utiliser à nouveau. Pour cela, il faut tout simplement la tenir fermement et de ne pas la lâcher. Ceci fait partie des nombreuses choses qui sont bien plus facile à dire qu'à faire. Mais il tenait bon, même si le voyou essayait tant bien que mal à dégager la lame. Ren était toujours aussi impassible, ne faisant rien paraitre sur son visage. Il était également calme, comme tout le temps dit-en passant, ce qui accentuait l'harmonie de son physique. On aurait dit une toile d'un des plus grands peintres de l'histoire, à la fois mélancolie, ne reflétant aucune joie, mais cependant reposant et pas du tout agressif. Il semblait irréel, comme s'il n'était qu'un mirage, présent dans un simple songe. Sans doute quelque chose qui devait d'autant plus sauter aux yeux du fait qu'il était à côté d'une jeune fille bien colorée. On pouvait voir un arc-en-ciel se dessiner dans ses cheveux, en total opposition aux cheveux immaculés du jeune homme.

Le temps semblait à nouveau sur pause, comme si après chaque action, un moment de doute, de suspicion et d'attente prenait place. Qui allait bouger en premier, qui allait maintenant attaquer, comment allait tourner cette altercation, étaient des questions que de nombreuses personnes devaient se poser. Le jeune Samouraï aurai pu en quelques secondes dégainer son katana , Saigyo, et effrayer un bon coup les deux garçons qui essayaient de devenir intéressants. Mais cela ne lui convenait pas, il avait déjà sauver la fillette une fois car cette dernier était pétrifiée, il voulait maintenant voir si elle utilisait ou non son don pour se battre. Et si oui, comme elle l'utilisait. Alors il décida de ne pas bouger, de la confronter à une situation où elle même sera obligé de faire quelque chose pour s'en sortir. Mais n'ayez crainte, si cela tournerait mal, il la protégerait. Il fallait s'en douter, tout le monde ne resta pas planter sans bouger, le deuxième voyou profita de ce moment de silence pour se déplacer sur la côté et ainsi attaquer la jeune fille. Ce dernier la prit et l'enroula autour de ses bras pour l'empêcher au maximum de bouger. Et Ren obtenu la réaction qu'il voulait, le jeune fille dessina une araignée, et son agresseur lâcha cette dernière, surpris. De plus, elle ne s'arrêta pas là, c'était au tour d'une "deuxième fillette" qui fit son apparition. Cette dernier était toute violette, et devait sans doute savoir sa battre, dans les limites de ses capacités. Notre jeune homme était content, il pu voir un partie du pouvoir de la jeune fille. Cette dernière lui cria de "prendre la poudre d'escampette", ne se doutant pas qu'elle avait était mise, entre guillemets, à l'épreuve. Il libéra la lame du premier voyou et s'enfuit avec l'inconnue aux cheveux multicolores.

Il ne fut pas difficile de quitter la place, malgré la présence d'un bon nombre d'individus. En effet, ces derniers s'étaient regroupés en paquet, laissant de la place sur les côté pour s'enfuir. De plus, avec les capacités de Ren et visiblement de la jeune fille, se déplacer rapidement était chose facile. Les deux voyous semblaient toujours occupés par l'invocation de cet être violet, et même si ils auraient réussit à la battre, jamais il ne seraient partis à la poursuite du duo maintenant bien loin. Le jeune homme cherchaient un endroit stable, calme et paisible pour se poser, la foule et le bruit connus un peu plus tôt avaient eu le don de lui déplaire. Être nombreux est bien quelque chose qu'il déteste. Il préfère, et de loin, un endroit éloigné de toutes grandes civilisations, où on peut entendre la nature s'émerveiller et surtout le vent passer entre tes cheveux. Notre jeune samouraï est quelqu'un de bien solitaire, mais cela ne le dérange en aucun cas. Avoir des amis est quelque chose qui le dépasse. Maintenant qu'il n'était plus obligé de faire attention à ce qui pouvait se passer, il reprit aussitôt ses commérages personnels. "Cette petite devrait s'entrainer. Son pouvoir n'est pas exploité à son maximum. Il faudrait aussi qu'elle apprenne à ne plus avoir peur devant le danger, un très gros défaut qui coûte facilement la vie." Tout en avançant, il tourna légèrement la tête pour regarder où elle se trouvait, et comment elle allait. "En plus, quelle mauvais goût d'avoir fait naître un personnage entièrement violet... C'est agressif et tout sauf esthétique. Je ne comprends vraiment pas comment les gens peuvent aimer les couleurs", pensait-il. S'il faisait apparaître quelques émotions sur son visage, on pourrait voir apparaitre un sentiment dégout envers touts les objets colorés. Mais ce n'était pas le cas, rien ne se reflète sur l'attitude et le visage de Ren. "Je vais peut-être continuer à la tester un petit peu, pour voir un peu plus de quoi elle est capable", continua-t-il.

Il accéléra alors le pas, sautant de plus en plus vite entre les toits, changeant subitement de direction, tout ceci pour connaitre son endurance et ses capacités à suivre quelqu'un, chose qui peut s'avérer bien utile dans certaines conditions. D'un coup il fit demi-tour, arrivant de face vers le fillette, et peut-être avant même qu'elle comprenne quelque chose, Ren lui posa la pied sur la tête et la poussa vers le sol. Elle tomba, pas violemment. Le jeune homme espéra qu'elle avait compris le message : "Attrape moi !". Rien de mieux qu'une course poursuite pour tester l'endurance, la rapidité et l'agilité d'une personne. Pour le moment, il décida de rester plutôt sobre dans ses mouvements, de ne pas aller bien vite, et de faire aucune piège. Elle le suivait toujours, même si elle ne semblait pas être le meilleure dans ce domaine, elle se débrouillait pour le moment. "On va passer au niveau supérieur", se dit Ren. Il alla un peu plus vite, changeant plus souvent de direction et commença à penser comment lui tendre quelques pièges. Il était très curieux de savoir comment elle allait se débrouiller, comment allait-elle faire mais bizarrement, il avait le sentiment qu'il n'allait pas être déçu. Cela faisait un petit moment qu'ils jouaient au jeu du chat de la souris, approchant lentement des limites de la ville. Il se dirigeaient vers l'Ouest, au delà de la ville, s'ils continuait dans cette direction ils se retrouveraient dans les Pitons Rocheux. Mais ce n'était pas se que voulait le jeune homme, et désirant pimenter encore plus ce "jeu", il lâcha une bille explosive qui libéra en même temps que l'explosion une large fumée épaisse. Il ne savait plus où se trouvait la petite fille, les choses devenaient intéressantes.